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Torah ou t’auras pas ?

Telle est la question….Faut-il, oui ou non écouter et mettre en pratique les lois, les commandements qui sont inscrits dans la Torah, à savoir dans les 5 premiers livres de la Bible ? ou faut-il considérer que Yéshoua, est venu tout accomplir et que les croyants ne sont pas tenus de les respecter ? Nous verrons très précisément les différents passages et comment ils ont été traduits… A qui faut-il obéir ? aux hommes ou à Dieu ?… Voilà, un sujet passionnant qui ne manquera pas d’éclaircir de nombreux débats vains et inutiles…. Le message de Yéshoua, était-il clair pour tous : pour les Juifs et pour les nations ???!!!…

Qu’en est-il exactement de cette Torah que l’Eternel a donnée à Moshèh ?

Est-elle pour les juifs uniquement ou pour tous les Croyants juifs et non-juifs ?

Voyons ce que les Écritures nous disent, d’abord dans YirméYahou/Jérémie 31.31 à 34:

31 Voici, les jours viennent, Déclaration de l’Eternel où je ferai avec la maison d’Israël et la maison de Yéhoudah (Juda) une alliance nouvelle (Brit ‘Hadasha),

32 Non comme l’alliance que je traitai avec leurs pères, le jour où je les saisis par la main pour les faire sortir du pays de Mitsraïm (Egypte), alliance qu’ils ont violée, quoique je sois leur Seigneur, Déclaration de l’Eternel.

33 Mais voici l’alliance que je ferai avec la maison d’Israël : Après ces jours-là, Déclaration de l’Eternel: Je mettrai ma Torah (Torati) au dedans d’eux, Je l’écrirai dans leur cœur et je serai Elohim (Dieu) pour eux et ils seront mon peuple.

34 Chaque homme n’enseignera plus son prochain, Ni aucun homme son frère, en disant: Connaissez l’Eternel! Car tous me connaîtront, Depuis le plus petit jusqu’au plus grand, Déclaration de l’Eternel ; Car je pardonnerai leur iniquité et je ne me souviendrai plus de leur péché.

Voyons ce que les Écritures nous disent encore ?

YéshaYahou/Esaïe 42.4 : Il ne se découragera point et ne se relâchera point jusqu’à ce qu’il ait établi « le bon jugement » (mishpat) (et non justice) sur la terre, et que les îles (c’est les nations) espèrent en sa Torah.

YéshaYahou/Esaïe 51.2 : Portez les regards sur Avraham, votre père et sur Sarah (Sara) qui vous a enfantés ; Car lui seul je l’ai appelé, Je l’ai béni et multiplié.

Béréshit/Genèse 12.3 : Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai celui qui te méprisera (ou parlera mal contre toi) et toutes les familles de la terre seront bénies en toi.

Si oui, comment se fait-il alors que, depuis des siècles, la vérité n’est pas enseignée comme elle devrait exactement l’être ?

Certains pourraient dire : « Oui, mais ce que vous dîtes là est dans les Prophètes, et donc, dans l’Ancien Testament ».

Voyons, si vous le voulez bien, ce que Yéshoua et les disciples nous disent alors sur ce sujet  au 1er siècle de notre ère :

Deutéronome 28.58 à 61 :

  • 58 Si tu n’observes pas et ne mets pas en pratique toutes les paroles de cette Torah, écrites dans ce livre, si tu ne crains pas ce nom glorieux et redoutable de l’Eternel, ton Dieu,
  • 59 l’Eternel te frappera miraculeusement, toi et ta postérité, par des plaies grandes et de longue durée, par des maladies graves et opiniâtres.
  • 60 Il amènera sur toi toutes les maladies d’Egypte, devant lesquelles tu tremblais ; et elles s’attacheront à toi.
  • 61 Et même, l’Eternel fera venir sur toi, jusqu’à ce que tu sois détruit, toutes sortes de maladies et de plaies qui ne sont point mentionnées dans le livre de cette Torah.

Ces derniers versets expriment clairement les malédictions qui résultent de la non-observation de la Torah… Le fait de continuer à ignorer la Torah conduit donc inévitablement au désastre…

 

Dans ” La Torah accomplie” au travers de Yéshoua HaMashia’h, Celui qui est appelé LE CHRIST qui n’est autre que ” L’Alliance Nouvelle / HaBrit Ha’Hadashah, que les nations appelle “Nouveau Testament”, nous avons noté une erreur de traduction majeure qui entraîne des foules de croyants dans une interprétation détournée des Ecritures.

C’est là un mal grave que l’Eternel jugera en son temps… Mais malheur à ceux qui l’on enseigné et détourné les Ecritures. Jugez vous-mêmes… 

Dans ce séminaire nous étudions principalment le mot grec “nomos”  qui existe 197 fois dans 158 versets de la Brit ‘Hadashah – l’Alliance renouvelée que les nations ont appelé à tord “Le Nouveau testament”.

 

dans le Dictionnaire grec Alexandre 1850, il est écrit que le mot grec nomos parle de la Loi de Moshèh (Moïse) et donc de la Torah que l’Eternel donne à Moshèh sur le Mont Sinaï non seulement aux Juifs mais aussi à toutes les nations.

30 ans plus tard le Dictionnaire Chassang de 1882 qui déjà subit l’influence du monde dit que le mot nomos nous parle d’une loi divine ou humaine. On est déjà moins catégorique.

Finalement, 50 ans après le Dictionnaire Bailly de 1850 paraît le Nouveau Dictionnaire Bailly de 1901. Dans celui-ci et sous l’influence de l’esprit de ce monde, il est écrit que l’on ne doit pas traduire le mot “nomos” par la loi de Moïse”…. Le mot “nomos” ne veut plus dire que : usage, coutume, opinion générale…

Cette dégradation du sens des mots au fil des années et des siècles conduit inévitablement à perdre le message de Yéshoua et de ses Disciples au 1er siècle. C’est pourquoi, nous avons fait un séminaire sur tous les versets où l’on trouve le mot nomos qui devrait être traduit par le mot hébreu Torah pour éviter toute corruption des hommes…. Vous pourrez juger vous-mêmes et vous verrez qu’à l’évidence Yéshoua et ses Disciples parlaient bien de la Torah… En fait ce mot Torah qui parlent des enseignements que Dieu donne aux hommes, n’aurait jamais dû être traduit dans les différentes langues pour éviter la corruption. Regardez le mot “amén” est un mot hébreu qui existe dans presque toutes les langues et tout le monde le comprend. Les enseignants, les docteurs, le spasteurs, les prêtres auraient du gardé le mot Torah pour ne pas le déformer…. Voyez vous-mêmes…

En traduisant le mot grec “nomos” par le mot hébreu “Torah”, nous verrons au travers des 158 versets que nous allons parcourir et étudier en profondeur que nous retrouvons parfaitement le message de l’Eternel, notre Elohim. Nous verrons avec Polos (Paul) que la grâce ne s’oppose jamais à la torah mais vient bien au contraire en parfaire le sens spirituel.

Je vous propose donc de découvrir les merveilles que le Saint Esprit nous a dévoilé et ainsi, de lever le voile que les Autorités spirituelles de ce monde ont mis sur les Ecritures pour mieux manipuler les peuples. L’Eternel ne fait-il pas pousser chaque brun d’herbe dans la nature, alors ne croyez-vous pas que El Shaddaï, le Dieu de la vie n’est pas capable de faire pousser chacun des descendants pour les amener à la stature parfaite de CHRIST. Enfin, tout est accompli à la croix pour que cela puisse arrivé. Les freins ne viennent jamais de l’Eternel, notre Elohim qui Lui, veut donner la vie…. Ce sont les hommes qui déforment, détournent et entraînent dans de mauvaises voies…. Jugez vous-mêmes.

 

Par ailleurs nous avons retraduit ce que les nations appellent le Nouveau Testament. Nous l’avons retraduit dans la pensée hébraïque en essayant de retrouver le sens et les paroles que Yéshoua et ses Disciples ont enseignés au er siècle. C’est époustouflant. Vous trouverez cette traduction sur notre site www.alecoledeyeshoua. En voici une présentation  conforme au Texte Reçu des Apôtres à l’attention de tous les croyants Juifs et non-Juifs qui sont greffés sur la racine d’Israël avec grâce et vérité au travers de Yéshoua, Celui qui est appelé LE CHRIST, selon les promesses faites par l’Éternel à Avraham, à Yits’haq et à Yaâqov.

Tout au long de cette révision messianique, « La Torah Accomplie » nous aurons le souci de rendre à Èlohim (Dieu) ce qui est à Èlohim (Dieu) et à César ce qui est à César… comme nous l’a recommandé Yéshoua, notre Sauveur, notre Seigneur et notre Maître…

Le mot « Loi » a été remplacé par le mot hébreu « Torah » car ce mot veut d’abord dire : « enseignement ». Il y a en hébreu d’autres mots pour parler des lois ou des règles : ’hoq, ’houqah… La Torah, c’est d’abord, les instructions et l’enseignement que Èlohim (Dieu) donne aux Juifs puis aux non-Juifs pour être heureux et vivre longtemps… Cette notion d’enseignement disparaît totalement lorsque l’on traduit le mot « Torah » par le mot « Loi » et cela ouvre la porte à de fausses interprétations que l’on trouve en abondance, notamment depuis la Théologie de remplacement mise en place officiellement depuis l’empereur romain Constantin avec l’Eglise catholique. Nous rétablirons donc le mot « Torah » car l’Alliance Nouvelle que YHWH (l’Éternel) fait au travers de Yéshoua, Celui qui est appelé LE CHRIST, est d’écrire sa Torah dans nos cœurs avec grâce et vérité par la Puissance de son Esprit Saint (Jér 31.31 à 33, Hé 8.10 à 12, Hé 10.16 à 17).

Pour faciliter la pensée hébraïque conforme à la volonté d’Élohim (Dieu), nous traduirons le mot grec “nomos” par Torah tout simplement.

Ce mot, comme certains mots, n’aurait jamais dû être traduit dans les langues du monde, afin de garder le message du Créateur.

Cela n’était pas impossible car le mot hébreu “Amén” par exemple, existe dans toutes les langues. Il n’a jamais été traduit.

Ainsi, les principaux mots Hébreux comme “Torah”, Shabbat, Pessah, etc… n’auraient jamais dû être traduits ni modifiés ni changés ou éliminés… attendu qu’il est interdit de rajouter ou de supprimer (Ap 22.18 à 19).

Cela aurait contribuer inévitablement à avoir une référence universelle parmi les peuples de la terre.

La seule épître aux Romains utilise 44 fois sur les 197 fois, le mot grec « nomos » qui veut dire « Torah ».

C’est en effet, dans ce livre que Polos démontre que la grâce ne s’oppose pas à la loi (Torah) mais bien au contraire, la rend parfaite dans nos cœurs et dans nos vies.

N’oubliez pas : nous sommes dans des temps prophétiques où l’Eternel dit au travers de CHRIST : Repentez-vous car le règne de Dieu est proche…

HaElohim, le Seul Dieu, Unique et Vrai, notre Dieu, le Dieu d’Avraham, de Yits’haq et de Yaâqov au travers de Yéshoua HaMashi’ah, Celui qui est appelé LE CHRIST, n’a qu’UNE SEULE PAROLE.

Que le Dieu d’Avraham, de Yits’haq et de Yaâqov, vous bénisse dans le précieux Nom de Yéshoua HaMashia’h, Celui qui est appelé LE CHRIST.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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